Ellayne
Raconteuse d'histoires et autrice indépendante

Je vais publier mon premier roman

L’autre jour, j’ai relu la bucket-list que j’avais écrite pour mes 30 ans.
A la rubrique Ecriture & Créativité, j’avais listé : 

  • Trouver le temps d’écrire
  • Finir ce que j’écris
  • Ecrire un roman
  • Faire éditer un roman, un jour

A vrai dire, “écrire un roman” est dans ma bucket-list depuis toujours.
Il y a encore quelques années, quand on me demandait ce que je voudrais faire de mon temps libre si les contraintes financières n’existaient pas, je répondais “écrire des histoires et les illustrer. »

Je sais pas pourquoi ça me semblait être le rêve ultime (et donc un rêve inatteignable).

“Écrire un roman,” je l’ai coché depuis un moment.
Techniquement, j’en ai même terminé plusieurs.
Certains dorment dans des dortoirs virtuels en attendant d’être retravaillés, d’autres sont publiés sur des plateformes d’écriture.
Mais l’an dernier, j’ai enfin posé le point final d’un roman que j’ai pris le temps de réécrire et de corriger.

“Éditer un roman”, c’était la cerise sur le gâteau, l’objectif un peu utopique qu’on se rajoute juste pour le frisson.
L’idée était folle jusqu’à récemment, voire complètement flippante.
La confiance en moi et en ce projet était trop vacillante pour que je m’y embarque complètement.
J’y songeais régulièrement, mais vaguement, comme un rêve qu’on sait qu’on ne réalisera jamais.
Tant qu’on ne prend aucun risque, ça reste confortable.

Quelle idée de vouloir sortir de sa zone de confort ?
Et petit à petit, le déclic s’est fait. Pas d’un coup, mais au fil des rencontres.
Je me suis rendue compte que cette histoire de zone de confort était complètement mal comprise.
On a souvent l’impression que sortir de sa bulle, c’est se jeter dans le vide.
Alors qu’en fait, à chaque fois qu’on grimpe une marche, on apprend, on expérimente, on tâtonne, on agrandit doucement sa zone de confort.

Le gouffre immense sous mes pieds n’est plus si flippant.
Le chemin n’en reste pas long et difficile, mais vous le savez, j’ai toujours aimé vadrouiller !
Alors on y est ! J’ai accumulé assez de confiance pour m’autoriser à y croire. Pire, j’en ai des frissons d’excitation rien que d’y penser !

Alors je vous le dis : je vais publier mon premier roman de façon indépendante !

Pourquoi choisir l’auto-édition pour mon roman ? 

J’aurais pu choisir d’envoyer mon manuscrit aux maisons d’édition et attendre sagement d’obtenir le Graal. 
Sauf que je ne veux pas me mettre dans une posture de dépendance via un éditeur.
Peut-être un jour, peut-être pour d’autres histoires. Mais pour ce premier roman, je veux tester les possibilités qu’offre l’auto-édition.

La différence avec l’édition traditionnelle, c’est que je m’occupe de tout :

  • l’écriture du roman bien sûr, 
  • les corrections éditoriales, 
  • les interminables et multiples réécritures, 
  • la conception du livre, 
  • l’impression, 
  • la diffusion, 
  • la promotion…

Parce que pourquoi faire les choses à moitié quand on peut s’embarquer dans un nouveau défi de cette taille ?
J’ai très envie d’expérimenter et d’avoir la main sur toute la chaine de création d’un livre.

J’ai aussi envie de documenter l’aventure, je ne sais pas encore sous quelle forme (articles de blog, vidéos), mais l’idée c’est de partager les coulisses de cette aventure et d’en tirer des leçons pour la suite.

Si mon projet vous intéresse, j’ai déjà dévoilé le résumé de mon roman par ici.

Pour me suivre dans cette nouvelle aventure, vous pouvez vous abonner à ma newsletter ci-dessous pour savoir quand aura lieu le lancement du roman (à vue de nez, ça sera à la fin de l’année 2021 !)

3 réponses

  1. Magnifique projet et hâte de pouvoir découvrir ton roman. Félicitations pour avoir l’audace d’accomplir ton rêve qui je suis sure permettra de te faire connaître . Au plaisir de te lire . Emilie et Mickaël

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Qui suis-je ?

Ellayne · Raconteuse d’histoires · Aime les fins douces amères et les persos attachiants · Baroudeuse curieuse · Pouffsouffle 

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